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Ce blog a pour objet des histoires créées au vu des recherches généalogiques, il permettra de faire revivre au delà de différentes périodes les ascendants de Michel Reboul.

18 Mar

La Généalogie un casse-tête chinois ?

Publié par Michel Reboul  - Catégories :  #Généalogie

La Généalogie un casse-tête chinois ?

Il est des jours où l’obstination apporte un réconfort dans les recherches entreprises depuis des années .

La seule vocation d’en savoir plus sur cette généalogie c’est la persistance. Par moment cela devient un casse tête chinois et je peux vous dire que je suis loin d’une patience, ne serait-ce à rassembler quelques pièces d’un puzzle représentant une simple image. Mon petit-fils Mathieu en sait quelque chose, et ne me demande pas de l’aider dans  cette stratégie de recomposition qui a été découpée pour le plaisir de remettre en place ces diverses pièces. Sa grand-mère est là… pour soulager ma conscience en vers le petit !

Oui, quel casse-tête quand on a un nom qui se décompose au fil des siècles, voir même au fil d’un acte d’état civil ou d’un acte notarial. De Reboul, on écrira selon la consonance et le savoir écrire des uns et des autres : Rebol – Rebolz – Reboullet … et encore plus futile on découvre que le nom des femmes s’inscrit avec un (e) à la fin.

De ce fait on trouve dans un acte : 

 

              Contrat de mariage le 5 mai 1580 entre Loys (Louis je suppose) Rebolz fils de Mathieu Rebol de Barret paroisse de Naves avec honeste fille Françoise Fossade fille de Grégoire Fossat paroisse de Salelles.

 

            Mariage de Claude Reboulle le 17 février 1579 à Jean Daurebonne du lieu de Daurebonne paroisse de Malarce en Vivarais.

 

Et, quand tu te retrouves avec deux Mathieu Reboul (pas mon petit-fils) mes deux ascendants, il te faut recoller « les pièces » et là c’est un vrai capharnaüm de noms et prénoms qui se suivent mais ne se ressemblent pas orthographiquement.

On souffle un peu, on écrit très souvent, j’en suis à mon troisième cahier brouillon de 96 pages, inscrivant des dates, des lieux, des nominations, je voyage dans le temps avec mes aïeuls, d’un village à l’autre, je découvre cette Ardèche pittoresque, ce Vivarais terre des Camisards, dont je lis entre deux recherches de noms un des livres sur cette période tragique. Je peste parfois de ces lignées qui s’entre-coupent, se cherchant d’une paroisse à une autre.

Mais je persiste et signe dans mes recherches, un virus ? Oui certainement. Dés que tu as mis le nez dans la généalogie, c’est impossible de s’arrêter, surtout quand tu t’intéresses à la vie d’autrefois, laissant parfois ces dizaines ou centaines de noms (598 actuellement et c’est peu) pour te consacrer à une famille d’un nom, certes avec des dérivés, mais combien poignant quand tu en positionnes un dans ton arbre , non pas seulement un nom, mais ne serait-ce une petite vie complétée par des passages d’un siècle passé.

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